Note: ceci est un résumé d’une session des Microsoft Days, pas mon point de vue.
Par Pierre Cauchois, relations avec les développeurs chez Microsoft France
Rappel sur la plateforme
Une cible commune: même résolution, même capteurs, même carte graphique.
Lors du développement Silverlight, le graphiste utilise Expression Blend 4, le développeur utilise Visual Studio 2010. Le langage XAML sert à faire la navette entre ces deux environnements.
Le SDK est gratuit: il y a une version Expression Blend for Windows Phone gratuite, et pour le développeur ça tourne sur Visual Studio 2010 Express.
Le graphiste utilise Metro. Ce sont des règles associées à l’ergonomie Windows Phone. En tant que développeur on a des outils qui permet d’y adhérer facilement.
Développement d’applications avec Silverlight
Les outils, le design, les API
Démo: une liste de pilotes est récupérée et affichée depuis un Web Service. Utilisation de XAML (ListBox), WebClient, LINQ to XML.
Démo: accès au GPS et à l’accéléromètre grâce aux classes GeoCoordinateWatcher et à Accelerometer.
De manière générale il y a des API pour le multitouch, les Web Services avec WCF, les capteurs, les données, les contacts, les photos, l’appareil photo, et un accès indirect au cloud: push (même si l’application n’est pas lancée) avec mise à jour de l’icône de l’application, géolocalisation, …
Le pattern MVVM
Le but de MVVM est de séparer la couche graphique de la couche métier. La vue est entièrement bindée sur le ViewModel. MMVM Light de Laurent Bugnon permet d’en faire plus facilement.
Marketplace
L’utilisateur est au centre, et il y a donc une version d’essai de l’application. Tout ce que nous avons à faire c’est appeler l’API IsTrial. La désactivation au bout d’un certain temps se fait automatiquement.
Il faut payer 100$ pour pouvoir publier autant d’application payantes que souhaitées et 5 applications gratuites.
Comments